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Notre anniversaire

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    J'ai l'obsession de mon corps, je le regarde, je le touche, sans doute pour m'assurer de sa présence, peut-être pour me le réapproprier. Je me dis que c'est bien mon corps, qu'il est à moi. Je le touche, mais Marianne aussi le touche. Elle le touche avec ses mains, avec sa bouche, avec ses lèvres. Marianne est une curieuse de petites touches, à la recherche de bonnes vibrations, de bonnes sensations. Et quand elle me touche, j'y vois le signe furieux du temps qui ne passe plus, alors elle me consomme sans modération. Et moi aussi, j'aime la toucher, dans tous les sens du derme.   Marianne et moi, nous formons un duo, elle avec moi, et moi avec elle. Mon corps est le prolongement de son corps. Nous entendons la pulsation de nos souffles, nous faisons corps ensemble, chacune avec sa singularité, avec ses seins, avec son sexe, avec son histoire différente, et nous jouons quelque chose d'unique et de semblable. Je l'accompagne, elle m'accompagne.

Mes érovasions

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Gil, alias Gemssa, l'auteur de "Mes érovasions" a disparu. J'espère qu'il ne lui est rien arrivé de fâcheux. Où est donc passé ce diable d'homme, amateur de jolies courbes, de jolies femmes, de jolis seins et de jolies fesses? Ses avis et ses commentaires, toujours éclairés, me manquent. Peut-être renaîtra-t-il, comme le phénix de ses cendres, dans un autre blog? Qui peut savoir? 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11

Fessée

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  1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11   à Marianne, Tu es grande pour recevoir la fessée Ma chérie Mais je te la donne petite sauvage Ainsi tu redeviens une petite fille Peut-être à la fin seras-tu plus gentille Toi déjà si sage Entre deux volées qui te framboisinent J’embrasse tes parties charnues Ta raie sublime Ton petit trou du cul chéri Et j’enfile trois doigts dans ta fentine Ça fait que tu te tortilles Alors je recommence la fessée Ophélie Conan  Poème publié le 23 mars 2017 dans "Conan la barbare II" Je l'ai, entre autres, illustré par des tableaux de Jules Pascin (1885-1930).  

Les seins selon Gaëlle

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Marianne m’a proposé d’écrire à la demande de Gil, un texte pour dire ce que je pensais des seins. J’ai dit oui, mais je le dis tout de suite, je n’aime pas trop écrire parce que je fais des fautes, mais heureusement Marianne m’a dit qu’elle me les corrigerait. La question est pourquoi j’aime les seins? En réalité, je ne sais pas trop, parce que c’est beau et que c’est doux. Pendant longtemps, j’ai touché ceux de ma sœur Karine et elle seule pouvait toucher les miens. J’avais peur de toucher ceux des autres filles, pourtant je les désirais, parce que je ne voulais pas devenir lesbienne. J’en avais peur. Marianne quand je l’ai connue m’a rassurée et aussi Ophélie que je voyais au début comme une horrible sorcière perverse et immorale qui organisait des partouzes de filles. Aujourd’hui je touche les seins des autres filles, sans complexes, et je les laisse me toucher. Je n’ai plus peur d’être lesbienne, j’accepte d’être une « gouine », d’autant plus que je n’aime pas les garçons. Les gar

Les seins selon Honorine

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Les seins me fascinent depuis toujours. Pas que les seins, aussi le sexe des femmes. Je me souviens, toute petite, déjà, je rêvais de toucher les seins de ma mère. Quand je suis arrivée dans le groupe, l’été dernier, grâce à Gaëlle, qui venait au club d’équitation où je donnais des cours, j’ai tout de suite été fascinée par les seins d’Ophélie. Tout de suite j’ai reconnu en elle ma mère, et je l’ai aimée, sans doute incestueusement, mais l’inceste avec une mère ne me fait pas peur, bien au contraire. Je n’ai connu aucun garçon, ils ne m’ont jamais intéressée. Je ne les trouve pas beaux. Dans ma vie, je n’ai aimé que des filles et des chevaux. Les chevaux sont beaux, ils me fascinent, et j’aime les monter, les filles aussi, surtout quand elles sont très belles. Avant Ophélie, j’ai eu des petites amies de mon âge, avec lesquelles, j’ai eu des relations sexuelles, mais je n’avais jamais fait l’amour avec plusieurs femmes à la fois. L’été dernier, il y a eu des partouzes avec Marceline, Ma