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Langue étrangère et vivante

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Se familiariser avec une langue étrangère bien vivante est une belle aventure. Toutes les quatre, au presbytère, nous allons bientôt pouvoir vivre ces moments de joie et de bonheur avec Aimy qui a décidé de venir s'installer parmi nous. Nous nous réjouissons de bientôt la retrouver et de prendre langue avec elle. Certes, se familiariser avec une nouvelle langue demande généralement du temps, de l’investissement, de la motivation et de la rigueur, mais il n'en sera rien avec celle-ci, car nous l'avons un peu déjà pratiquée, et c'était une langue très facile et très belle. Sans nul doute nous vivrons de grands moments de lâcher-prise et de bascule dans le non-être qui nous catapulteront dans la félicité. Honorine & Gaëlle

Un bon achat

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  Grâce à son col roulé et à ses manches longues, nous apprécions ce genre de petit pull très chaud et très confortable. Au presbytère, sans exception, sous des couleurs et des matières variées, nous l'avons toutes adopté cet hiver. Joséphine

Faits divers

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1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 L'infante de Castille avec sa robe de pierre rejoindra sa solitude   Sans pitié sans salpétrière Auparavant De derrière un paravent Une femme avec des yeux de fougère surgira qui lui dira son nom Toutes deux sympathiseront Se raseront le pubis Et se feront l'amour sur le gazon Sans accessoires Sans désespoir Tandis qu'ailleurs Ici ou là D'autres femmes le feront avec accessoires Et désespoir Mais cela fera déborder la mer dans les tableaux de maître Et couper des têtes dans les salles de bains Pendant ce temps Le monde prendra son temps Ira son train Jouera son va-tout Cahin-caha Les roses refleuriront Et l'amour et la mort continueront de poursuivre le même chemin Ophélie  

Lisa Gherardini

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  Lisa de toutes les vies Tu vis dans tous les corps Et jamais tu ne péris biens et corps Mais tu n'es plus à ça près Car tu as encore aux lèvres L'incroyable désir des femmes souriantes Même devant six millions de visiteurs Qui comme des balèvres Te collent Chaque année Au Louvre Ou se selfient devant toi En te tournant le dos Ophélie La Joconde avec de gros nénés, pourquoi pas? Nous n'avons pas pu résister à l'utilisation de cette image pour illustrer ce poème d'Ophélie déjà paru dans son blog. Marianne

Je me languis

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  1 En ce moment, je suis malheureuse. J'ai très envie de quitter Soustons et d'aller vivre chez mes petites amies du presbytère, mais pour cela, je dois quitter ma famille, en particulier ma mère et ma sœur aînée ainsi que ses deux petites, Mia et Ava... Ma mère et ma sœur savent que je suis lesbienne, je leur ai dit il y a longtemps déjà. Elles ne sont donc pas choquées que je veuille rejoindre une communauté de filles, mais elles sont tristes que je les quitte. Ma sœur et ses deux filles vivent chez ma mère à Soustons, où je vis également, mais chez moi, de manière totalement indépendante d'elles. Que j'aie le projet de partir loin d'elles les rend vraiment très tristes, surtout ma mère et mes deux petites nièces qui m'aiment beaucoup et que j'adore. Je me sens affreusement coupable de leur faire cette peine, mais je dois faire ma vie de femme. J'ai vingt-huit ans, et je dois enfin m'épa nouir . J'ai trop hâte de retrouver mes amoureuses, elle

Fans de toi

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  Miley Cyrus - Flowers Miley Cyrus - Malibu Miley Cyrus - Used To Be Young 1 2 3 4 5 6 7 8 Avec Aimy, nous t'aimons beaucoup, Miley! Gaëlle & Honorine

Mystérieuses connivences

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Buster Keaton - One week (1920) La chapelle Rothko 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 Je ne sais pourquoi, il m'a semblé que l'acteur et réalisateur Buster Keaton (1895-1966) et le peintre Mark Rothko (1903-1970) pouvaient mystérieusement faire bon ménage sur un plan esthétique. C'est la raison pour laquelle je les ai réunis sur cette page, en compagnie de quelques belles images érotico-saphiques qui me font tout autant vibrer, mais de manière différente. J'aime beaucoup ces mystérieuses connivences qui, sans doute, sont personnelles à chacun. Concernant Rothko, je souscris à cette citation de l'historienne de l'art Suzanne Pagé quand elle écrit: "I l (Rothko) peint les émotions humaines fondamentales, la tragédie, la mort, l’extase. C’est universel, intemporel. Cette œuvre vous met face à vous-même. Je pense que l’on ne peut pas y échapper. D’abord parce qu’elle a quelque chose de très sensuel, jouissif,