Quoi de plus normal quand on fait une promenade dans un parc et qu'on est un couple de femmes que de rencontrer un autre couple de femmes? D'abord on s'arrête à peine, on échange un bonjour, puis quelques mots gentils, parce qu'on se trouve sympathiques ou excitantes et, sans s'en rendre compte, on s'enracine auprès d'un lampadaire où s'engage une conversation sérieuse qui peut durer des heures! Et bla bla bla, et bla bla bla... Les femmes sont si bavardes. Certaines (Marianne, Joséphine). D'autres le sont moins (Honorine, Gaëlle) et participent moins à la conversation. Comme elles s'ennuient un peu et qu'elles ont besoin de bouger, elles occupent leurs mains... Regardez, la conversation est sérieuse. Les visages sont graves. A notre avis, ces quatre-là se reverront et deviendront de vraies bonnes amies. Honorine & Gaëlle  

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  Marianne m'a demandé de choisir une image animée. J'ai choisi celle-ci. Je l'aime parce que je la trouve vivante avec ce voluptueux baiser qui engage fortement les langues, mais pas que...  Il ya aussi ce généreux contact des seins emboités qui, se frottant, feront dresser tétons et clitos. Ce ne sont pas Honorine et Gaëlle (elles sont blondes), mais la passion de ces filles leur ressemble. Joséphine

Ji Yoon Park (violon) & Catherine Cournot (piano) Arvo Pärt Spiegel im Spiegel (1978) Je trouve que ce genre de musique accompagne très bien les infinies variations de nos baises lesbiennes, car elle provoque de subtiles transes intérieures quasiment orgasmiques. Marianne  

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