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Une commune sexuelle

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Nous aimons ce genre de dessin qui a la vertu de bien nous exciter. Évidemment, en le regardant, nous ne pouvons pas nous empêcher de nous masturber solitairement et/ou solidairement, voire de jouer à deux, à trois ou à quatre, d'autres partitions plus complexes, ainsi que cette œuvre nous y invite (léchage de chattes, pénétration au gode). Nous ne sommes certainement pas des lesbiennes "idéologiques" ou "névrosées", mais de vraies amoureuses du corps féminin que nous fétichisons. Cet idéal commun crée entre nous, une fusion-cohésion durable qui, pour le moment, nous rend parfaitement heureuses et facilite nos échanges. Dans ces derniers, le consentement mutuel va de soi et c'est un peu comme si nous nous prolongions d'évidence dans le corps de l'autre... Oui, nous avons le sentiment de former "une commune sexuelle" dans laquelle nous partageons tout ou presque tout! Marianne, assistée d'Honorine & Gaëlle   

Un rituel du samedi matin

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1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 47 48 49 50 Sans doute, nos jeux érotiques sont-ils un peu répétitifs, mais nous ne nous en plaignons pas. Sans doute faudrait-il changer de partenaires plus souvent, mais nous n'avons pas le cœur à ça, nous nous aimons et nous plaisons entre nous. Nous organisons parfois des fêtes en invitant nos Bretonnes préférées, nos Italiennes ou nos Américaines, mais il est vrai que ça n'est pas très souvent et, qu'en ces occasions, nous retrouvons des visages, des doudounes et des chattes que nous connaissons déjà bien... En fait, nous ne sommes pas très sûres d'avoir vraiment envie de nouveautés. Peut-être même que la répétition, le rituel, est pour nous une source de plaisir. Je veux donner un exemple. Presque tous les samedis matin (sauf événement imprévu), vers onze heures, nous suivons Joséphine dans les communs. Nous nous y rendons évidemment nue