The mysterious lady (1928) - Fred Niblo 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 17 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 36 36 37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 47 48 49 J'ai illustré "The mysterious lady" de Fred Niblo en choisissant quelques photos dudit film.  Greta Garbo y incarne une belle espionne russe, Tania Federova, qui trahit son pays par amour. Comme dans tous les films où elle joue, elle est splendide, rayonnante, féérique... Sous une apparence fragile, cette femme était certainement dotée d'une sensualité folle et féroce. Dans tous ses films, elle a une de ces manières d'enlacer, de regarder et d'embrasser ses partenaires (masculins)... Quel volcan! Quand je pense que la Divine était aussi lesbienne! Bien sûr, ce n'est pas elle dans les illustrations n° 5, 13, 17, 22, 26, 32, 39, 45, 48 et 49! Marianne  

Nu de Michail Vjiuzhanin De violette et de cinname, De corail humide et rosé, De marbre vif, d'ombre et de flamme Est suavement composé Ton joli petit corps de femme. Pour mon amour qui te réclame Ton reproche vite apaisé Est ce qu'est pour la brise un blâme De violette. Ton savoir a toute la gamme ; L'énigme craint ton œil rusé, Et ton esprit subtilisé Avec le rêve s'amalgame : Mais ta modestie est une âme De violette. Maurice Rollinat (1846-1903) Poète difficilement classable (peut-être décadent), musicien et interprète, Rollinat est né huit ans avant Rimbaud. Génie diabolique pour certains (Barbey d'Aurevilly), d'autres comme Verlaine, le considéraient comme un sous-Baudelaire. Pour moi, c'était un mystique sincère qui recherchait dans la poésie, souvent de manière douloureuse, le moyen de représenter l'Infini et le mystère des choses. Refusant avant l'heure le monde moderne symbolisé par la ville, il retrouve la paix, à la fin de sa vie, dans le